vendredi 26 décembre 2008

Texte #5

Qu'est-ce qu'on vieillit vite! C'est ce que je me suis dit en lisant mon dernier texte, les mucheuses crispées et les yeux atrophiés (mes fluides sont astringents, gracieuseté du chauffage derrière-moi). Une session et huit élections plus tard, je suis crevé, comme une grosse pustule. J'anticipe alors un moment de repos d'ici deux semaines... un repos dans les party du temps des fêtes, sur les pentes, en revisitant les 177 façons d'envoyer une femmes en l'air (tiré de La pauvre petite histoire d'un échange de cadeaux), etc.

Beaucoup de choses se sont passées au cours des trois derniers mois mais plus j'y pense, et plus j'ai envie de faire caca, ou d'en faire un décompte de fin d'année...

À suivre...

vendredi 26 septembre 2008

Texte #4

C'était magnifique, magique, merveilleux!! J'étais si obnubilé par ce spectacle de Radiohead que mes doigts ont tordu de bonheur, et je n'ai su trouver une façon de vous écrire par la suite. C'est avec mes coudes que j'ai débuté un nouveau billet il y a un mois mais j'ai fini par m'envoyer un de ces doigts dans l'œil.. bref une perte de temps...

À vrai dire, je ne suis redescendu sur terre que depuis quelques semaines. Fini la grande vie vieux bouffon, tu es un écolier maintenant... et puisque écolier rime avec .... éTuDiEr (ouf la grosse crampe), je ne sors la tête de mes livres que lorsque ma face deviens très très sèche, et alors là, je la met devant mon écran d'ordinateur. Bon, j'exagère un peu mais il est vrai que je traine un peu plus sur le net depuis que j'ai recommencé à porter mon petit casse avec une hélice. Ça me donnera la chance de passer et laisser un texte plus souvent. Le fait que Yann et Bab aient repris les rênes de leur blog et que Caro compte en faire autant sera probablement un stimulant de plus (yé)!

Et oui! j'ai commencé mes cours de comm politique. J'y apprends tellement de trucs que je me peux pu, je dois me masturber l'intellect. Je n'aurai que ça en tête ces trois prochaines années donc faudra s'habituer! Je lis tant de quotidiens et de textes sur la politique que je m'obstine même en me rasant. Je vous verbaliserai tout ça plus en détail... d'ici Noël...

jeudi 31 juillet 2008

Texte #3

Ça y est, c'est fait! Les boites, les meubles, le balais, la mope, tuer Plante 1ère, peinturer la cuisine, la chambre, le salon, tuer Plante 2ème, le balais, la mope, célébrer la cuisine (...), la chambre, le salon, les meubles, les plantes mortes, prendre une douche, célébrer la douche, ne plus acheter de plante...

Ouf! L'été commencera donc en août par chez moi, et pour ouvrir le bal... RADIOHEAD DaNs-UnE-sEmAiNe!! Vous me direz peut-être qu'il y a plus "in" que Radiohead, mais moi je vous répondrai "NON!!! Pas en 1998..."

La semaine dernière, j'ai appris, dans un souper de famille, que j'avais un lecteur de plus... Ce moment phare dans mon existence m'a fait prendre conscience de quelque chose : Mes fans ont des attentes envers moi et méritent de me lire plus souvent. Je vais donc essayer d'être plus ponctuel, mais Dieux Mon Employeur sait que ça ne m'est pas facile!

Le temps est donc venu, après 1 mois et demi, de vous expliquer la provenance de Ailleurs qu'en Espagne et Face de Pet. C'est ce que je ferais si je m'en souvenaitre.. mais 1 mois et demi c'est long.. pour une peinte de lait.. quand t'es enterré.. Mais là on s'éloigne du sujet!

Ailleurs qu'en Espagne, de ce que je me souviendre, fut le titre choisi lors de mon premier "essaie", alors que j'étais en cure de pas idée, et sachant pertinemment qu'on ne choisi pas le premier titre qui nous passe par la tête. Ce titre m'était venu alors que je lisais le blog d'une connaissance, installée en Espagne depuis quelques mois. Je crois qu'elle me rappelait un peu moi, quelque peu intello et ouvert sur le monde, quittant naïvement père et amis pour l'Europe avec les plus grandes ambitions du monde. La tête me tournait aussi pour l'Espagne, mais avec le recul, mise à part un intérêt très à la mode pour un pays à la fois exotique, sécuritaire et accessible, je n'arrivais pas à comprendre tout cet engouement, et ce qui m'amènerait , plutôt qu'ailleurs. J'ai d'ailleurs choisi d'aller ailleurs (j't'emmerde syntaxe), et marqué mes débuts de libre penseur (oh un grand moment!). L'idée m'est restée intéressante, et le thème fidèle à mes intérêts pour ce blog...

L'histoire de Face de Pet est plus récente. Je l'ai choisi impulsivement au moment de signer mon premier billet, convaincu que son ancêtre, tenant paisiblement le coup depuis les débuts de Ailleurs qu'en Espagne, ne pourrait survivre dans la blogosphère. Face de Pet était le nom affectueux que me donnait la femme que j'aime.. ainsi qu'à tous ses amis et connaissances. j'ai dû lui offrir mon corps plusieurs fois avant d'être élevé au rang de Face de Pet 1er, mais détrompez-vous, je n'ai pas honte de mon cheminement.

Voilà donc toute ma cyber-biographie. Je suis prêt pour Wikipédia...

samedi 28 juin 2008

Texte #2

Fidèles lecteurs (i.e. Caro) je suis revenu! Peu commun dans la blogosphère de prendre ses vacances si tôt vous direz mais je n'ai passé que très peu de temps les narines autour du doigt, j'étais ailleurs qu'à Montréal (Oouh promo!), plus précisément à New York, et parfois à Virginia Beach ou Washington, selon le jour, la position du soleil et l'humeur. Ce voyage je ne l'ai pas fait seul, je pouvais bien sûr compter sur Superbe Caro, ma co-pilote de jour et mon amour de nuit (je blague, elle était mon amour le jour aussi... est-ce moi ou les allusions au sexe persistent dans ce billet). Un Eastrip tellement rempli en péripéties que je ne saurais par où commencer (c'est l'excuse qu'on utilise quand on a pas envie de raconter notre voyage dans le détail).

Le retour en ville s'accompagnait d'une jolie tournure dans nos univers, celui de les conjuguer. Elle a demandé la main à mon lit il y a déjà 4 mois et nous y voilà, joyeux et amoureux, dans les boites à l'infini. Caro parle et déballe des boites dans son sommeil, j'ai les fesses au garde-à-vous. Parfois on s'assoit, on pleure et on recommence à défaire des boites. On dit que c'est ça déménager deux logements dans un (oui on dit ça oui!). Je dors en marchant mais j'ai pourtant si hâte de peinturer. HeUrEuX cOmMe PaS pOsSiBlE tOé!!! :D

Allez le travail m'appelle (voyez la chauve-souris dans le ciel)! Je vous explique Ailleurs qu'en Espagne et Face de Pet très bientôt, je ne vous oubli pas!

samedi 14 juin 2008

Texte #1 (v'là un titre simple pour les archives..)

Dire que ce blog fut créé il y a presque six mois! Je me promet depuis tout ce temps de l'ouvrir aussitôt qu'un évènement majeur viendra bouleverser mon existence. Ma vie est fun de même moi...

Bon, je dois reconnaitre que ma vie a eu le temps d'être interceptée, montée en zone adverse, passée, lancée, arrêtée, retour de lanceté et but (oui on parle de sport des fois sur ce blog un peu de respect) avant que je me décide enfin à rédiger, de mes index, ce billet historique.

Évènement bouleversant : Mes premiers pas à l'aube de mes trois ans. Mais ce n'est pas l'élément déclencheur de cette histoire.

Élément déclencheur de cette histoire : Je viens d'être accepté (voyons.. jeudi? non... le 28 mai dernier) en Communication, Politique et Société à l'UQÀM! Et oui! J'ai comme projet d'un jour exposer ma propre vision journalistique du monde, imagée et construite à partir d'un bagage délicieux acquis dans l'univers du travail social, mon domaine d'emploi actuel. Je compte bien envoyer quelques textes ici et là dans les journaux étudiants de ma faculté pour prendre la main et j'afficherai mes textes ici. J'espère bien recevoir vos commentaires dithyrambiques, perplexes et disgracieux! :D

Tant de choses à formuler dans des phrases complètes maintenant que l'asphalte est nid de poulée. Je vous en dit un peu plus sur Ailleurs qu'en Espagne et Face de Pet dans Texte #2.

Vous entendrez également parler d'une femme magnifique qui partagera ma voiture cette semaine dans ce que j'aime appeler un Eastrip. Un bref avant-gout de notre avenir, car cette même femme partagera ma vie, bientôt, dans une semaine. Mais je crois que vous la connaissez déjà, n'est-ce pas?